2025 : Journal de Pierre Vernant
* Pierre Vernant-édito 2025 ; 1er-15 janvier 2025 ; 16-31 janvier 2025 ; 1er-15 février 2025 ; 16-28 février 2025 ; 1er-15 mars 2025 ; 16-31 mars 2025 ; 1er-15 avril 2025 ; 16-30 avril 2025 ; 1er-15 mai 2025 ; 16-31 mai 2025 ; 1er-15 juin 2025
Au fil du temps, tous les éditos
À Madrid, commence le festival Filmadrid 2025, 11e édition (10-15 juin 2025).
Au programme :
* Sección Oficial. Et Jury.
* Espejos.
* Las revelaciones del cine Europeo. Smart7.
* Nuevos Pasajes Nuevas Visiones.
Ce soir :
* À 18h00, Cineteca : Epilogues de Ari Alexander & Ergis Magnússon (2024).
* À 20h30, Filmoteca : Blue Sun Palace de Constance Tsang (2024).
À Paris, au Forum des images, commence La Quinzaine en salle, reprise intégrale des films de la Quinzaine des cinéastes, 57e édition, au Festival de Cannes 2025 (10-22 juin 2025)
Ce soir, ouverture :
* À 19h00 : Enzo de Laurent Cantet & Robin Campillo (2025).
En sa présence.
* À 21h00 : Indomptables de Thomas Ngijol (2025).
En sa présence.
À Paris, au Musée du Jeu de Paume, l’anthropologie est à l’honneur avec le cycle de cinéma Verena Paravel & Lucien Castaing-Taylor. Une écoute du monde (10-22 juin 2025).
Ce soir :
* À 19h00 : De Humani Corporis Fabrica de Verena Paravel & Lucien Castaing-Taylor (2022).
À Marseille, Vidéodrome 2 commence un programme de courts-métrages de cinéma expérimental, conçu par Mireille Laplace, avec notamment le concours de Light Cone : La Mer, le Voyage. La mer réinventée (10-12 juin 2025).
Ce soir :
* À 20h00 : Ocean de Stéphanie Maxwell (2014) ; Arktis de Jürgen Reble (2004) ; Save My Heart de Jacques Perconte (2016) ; Organ Movement de Guillaume Cailleau (2016) ; Into the Great White Open de Michaela Grill (2015).
À Lyon, à l’Institut Lumière, une soirée exceptionnelle.
Ce soir :
* À 18h30 : Souvenir de Bertrand Tavernier par Sabine Azéma.
avec Thierry Frémaux.
* À 20h30 : La Vie et rien d’autre de Bertrand Tavernier (1989).
À Paris, au Maltais rouge, la Société Louise-Michel (SLM) invite à une rencontre féministe.
Ce soir :
* À 19h00 : La transmission générationnelle, les reculs, les effets actuels du masculinisme, des réseaux sociaux, de la droitisation du monde.
Rencontre avec Ludivine Bantigny.
Bonne lecture :
* Ludivine Bantigny, Nous ne sommes rien, soyons toutes ! Histoire de femmes en lutte et de luttes féministes, de la Révolution à nos jours, Paris, Seuil, 2025.
À Rome, comme d’habitude à la veille de l’été, les projections de la Casa del Cinema se déplacent en plein air, au Théâtre Ettore-Scola, et deviennent gratuites (9 juin-7 septembre 2025).
Pour inaugurer l’été 2025, commence le cycle Newsroom, avec des films qui révèlent la relation étroite et fascinante entre cinéma et journalisme (9-18 juin 2025).
Ce soir :
* À 21h30, Villa Borghese, entrée gratuite : Citizen Kane de Orson Welles (1941).
À Londres, au British Museum, se tiennent les deux expositions de l’été 2025.
* Hiroshige, artist of the Open Road (1er mai-7 septembre 2025).
Utagawa Hiroshige (1797-1858) est devenu l’un des artistes les plus talentueux, prolifiques et populaires du pays.
C’est la première exposition qui lui est consacrée à Londres depuis plus d’un quart de siècle.
* Ancient India. Living traditions (2 mai-19 octobre 2025).
Remontant à plus de 2 000 ans, cette nouvelle exposition explore les origines de l’art sacré hindou, jaïn et bouddhiste chez les esprits anciens et puissants de l’Inde, ainsi que sa diffusion au-delà du sous-continent.
C’est l’une des premières grandes expositions au monde à examiner l’art dévotionnel primitif de l’Inde d’un point de vue multiconfessionnel, contemporain et mondial.
L’Observatoire international des prisons section française (OIP) publie une revue Dedans Dehors.
Le dernier numéro, le n°126 de mai 2025, vient de sortir, avec pour thème Surpopulation carcérale : les personnes détenues prennent la parole. avec une réponse à l’Administration.
À Annecy, commence le Festival international du film d’animation 2025 (8-14 juin 2025)
Au programme :
* Hommage à l’animation hongroise.
* Compétitions : Courts métrages officielle ; Off-Limits ; Films de télévision ; Films de commande ; Œuvres VR ; Jeune public ; Longs métrages officielle ; Longs métrages Contrechamp.
Et Jurys.
* Hors compétition : Séances événements ; Annecy Présente ; Midnight Specials.
* Marché international (40 ans)
Aujourd’hui, ça commence dès 9h00.
Ce soir, cérémonie d’ouverture :
* À 20h00, grande salle Bonlieu : Courts métrages.
À Paris, au Forum des images, la Cinémathèque du documentaire propose une séance en avant-premièrere, en partenariat avec le Festival des 3 Continents.
Ce soir :
* À 18h00 : Le Retour du projectionniste de Orkhan Aghazadeh (2024).
En sa présence avec Jérôme Baron.
À Paris, c’est la Nuit blanche 2025, 23e édition.
Elle propose gratuitement l’ouverture au public de musées, d’institutions culturelles et d’autres espaces publics ou privés, avec des événements spéciaux.
C’est une vieille idée des pays nordiques, référence à la période où le soleil ne se couche pas vraiment, de mi-mai jusqu’à mi-juillet. Elle s’est propagée à Paris à partir de 2002, puis a été reprise dans d’autres villes du monde, souvent à d’autres dates, Rome, Montréal, Toronto, Bruxelles, Madrid, Lima, Málaga, Leeds, Taipei ou Séoul.
Cette année, en France, elle met à l’honneur le cinéma, avec Valérie Donzelli comme directrice artistique, et Michel Gondry pour l’affiche et la boîte à musique.
* Quelques propositions de la ville de Paris.
On note aussi :
* À la Cinémathèque : Nuit Blanche au Musée Méliès.
* À la Fondation Maison des sciences de l’Homme (FMSH) : Mille et Une nuits blanches. Nuit rêvée, nuit contée.
* À l’Académie du climat : La résistance par l’art.
* Aux Ateliers Médicis : Toute première fois.
* Quelques grands écrans dans Paris.
Et notamment dans le 14e arrondissement de Paris
* Aux Sept Parnassiens : La séance des artistes.
* Dans les Catacombes : Xavier Donzelli / Âmes sentinelles (Quoi, l’éternité).
* Concert de musiques de films.
À Paris, au cinéma du Panthéon, c’est la reprise du palmarès de la CINEF du Festival de Cannes 2025.
La Cinéfondation a pour objet de présenter et de mettre en valeur des films d’école de fiction ou d’animation dont les qualités artistiques révèlent un talent de cinéaste qui mérite d’être encouragé.
Ce soir :
* À 18h00, les 4 premiers prix : First Summer de Heo Gayoung (2025) ; 12 Moments Before the Flag-raising Ceremony (Lever de drapeau) de Qu Zhizheng (2024) ; Ginger Boy de Miki Tanaka (2024) ; Winter in March de Natalia Mirzoyan (2025).
* À 20h15, Reprise des courts-métrages en compétition. : A Solidão dos lagartos de Inês Nunes (2025) ; Aasvoëls (Vautours) de Dian Wes (2025) ; Agapito de Arvin Belarmino & Kyla Danelle Romero (2025) ; Ali de Adnan al Rajeev (2025) ; Arguments in Favor of Love (Disputes en faveur de l’amour) de Gabriel Abrantes (2025) ; Dammen de Grégoire Graesslin (2025) ; Fille de l’eau de Sandra Desmazières (2025) ; Hypersensible de Martine Frossard (2025) ; I’m Glad You’re Dead Now de Tawfeek Barhom (2025) ; Nvhai (Filles) de Zhaoguang Luo & Shuhan Liao (2024) ; The Spectacle de Bálint Kenyeres (2025).
À New York, le Lincoln Center programme un hommage à Monica Vitti : La Modernista (6-19 juin 2025).
Il couvre toute la carrière de l’actrice qui a contribué à définir l’une des plus grandes périodes du cinéma italien et mondial.
Ce soir :
* À 20h30 : L’avventura de Michelangelo Antonioni (1960).
À Büdelsdorf, commence la grande exposition internationale annuelle Nord’Art 2025 (6 juin-5 octobre 2025).
Au programme :
* Contemporary Art from China.
* Special Project Directions Poland.
Et aussi : Mongolian Contemporary Art et Contemporary Chilean Art.
* Les Prix.
https://www.nordart.de/en/nordart/nordart-prize-public-choice-award
À Angoulême, au Musée de la bande dessinée, se tient une exposition Signé Bretécher (23 mai 2025-8 mars 2026).
Bonne lecture :
* L’Art de Bretécher, Paris, Dargaud, 2025.
À Zurich, à la Kunsthaus, on inaugure la nouvelle exposition : Suzanne Duchamp. Rétrospective (6 juin-7 septembre 2025).
C’est la toute première rétrospective mondiale de l’œuvre de Suzanne Duchamp (1889-1963), sœur de Marcel Duchamp, Raymond Duchamp-Villon et Jacques Villon, qui présente les premières compositions abstraites, les expérimentations dadaïstes, et les œuvres figuratives tardives.
Et aussi :
* Monster Chetwynd. The Trompe l’œil Cleavage.
Stéphane Gatti (1950-2025) est mort dans la nuit du 23 au 24 mai 2025, et a été incinéré le 31 mai 2025 au Père Lachaise.
Fils de Armand Gatti (1924-2017), il a consacré sa vie à faire vivre l’œuvre de son père, et a poursuivi l’aventure de La Parole errante.
Il a aussi une œuvre personnelle (films et livres).
À Montreuil, ce soir, à la Guillotine, à 20h00, on lui rend hommage.
À Lyon, l’Institut Lumière célèbre Sam Peckinpah (1925-1984), réfractaire à l’idéologie hollywoodienne, mort trop jeune (4 juin-20 juillet 2025).
Ce soir :
*À 19h00 : La Horde sauvage (The Wild Bunch) de Sam Peckinpah (1969).
Présentation par Thierry Frémaux.
Avec deux conférences de Gérard Camy, les 28 et 19 juin 2025.
Bonne lecture :
* Gérard Camy, Sam Peckinpah, le rebelle mélancolique, Institut Lumière / Actes Sud, 2025.
À New York, le Metrograph programme une rétrospective Mikio Naruse : The World Betrays Us (5-29 juin 2025)
Ce soir :
* À 19h00 : Quand une femme monte l’escalier (Onna ga kaidan wo agaru toki) aka When a Woman Ascends the Stairs de Mikio Naruse (1960).
À Paris, aux Sept Parnassiens, c’est le cinéclub Psychanalyse et cinéma organisé par l’Envers du décor.
Ce soir :
* À 20h00 : La piel que habito de Pedro Almodóvar (2011).
En présence de Karim Bordeau, Anne Ganivet-Poumellec, Marie Majour, Leïla Touati.
À Paris, à la Maison européenne de la photo (MEP) vient d’ouvrir la nouvelle exposition, une grande rétrospective, Marie-Laure de Decker. L’image comme engagement (4 juin-28 septembre 2025)
Marie-Laure de Decker (1947-2023) a été photographe de guerre, de plateau et de mode.
Et aussi :
* Ilanit Illouz. Au bord du volcan (4 juin-24 août 2025).
* Jouer dehors (4 juin-28 septembre 2025).
À Paris, au Amarres, les Amis du Monde diplomatique Paris invitent à une rencontre gratuite
Ce soir :
* À 18h00 : Contre la panique identitaire : penser autrement les migrations.
Avec Benoît Bréville et Denis Lemasson.
Bonne lecture :
* Benoît Bréville & Grégory Rzepski, éds., Immigration : illusions, confrontations, instrumentalisations, Manière de Voir n°194, avril-mai 2024.
À Sydney, commence le Festival international du film 2025, 72e édition (4-15 juin 2025).
Au programme :
* Guests.
* Competitions : Official Competition. ; Documentary Australia compétition. ; First Nations Competition. ; Sustainable Future Competition.
* Hors compétition : Features. ; International Documentaries. ; Freak Me Out ; Europe Voices of Women
* À 19h00 : Together de Michael Shanks (2025).
À Pantin, commence le festival Côté court 2025, 34e édition (4-14 juin 2025).
Au programme :
* Compétitions : Fiction ; Essai et art vidéo ; Prospective Cinéma.
* Hors-compétition : Grand Angle ; Écran libre ; Clips.
* La subjectivité au travail avec Alain Badiou.
* Performance cinématographique
Ce soir, ouverture :
* À 20h00 : Le Rendez-vous de l’été de Valentine Cadic (2025)
À Paris, au Centre Wallonie-Bruxelles (CWB) commence le festival Le court en dit long 2025, 33e édition (4-7 juin 2025).
Ce soir :
* À 18h00, Films d’école. : Origami de Debora Leruth, Loredana Frattaioli, Gwendaëlle Warnand & Lélya Pecal (2024) ; Bobel’s Kitchen de Fiona Rolland (2024) ; Landry de Marie Fotso (2024) ; Poxo Peanuts de Étienne Grignon (2024) ; Éternelles Vacances de Joseph Dumoulin (2024) ; Kevin de Denys Aguilera & Nicolas Vanderberghe (2024).
* À 20h30, Variations comiques. : Joyeux Anniversaire Titus de Rebecca Finfe (2024) ; Au goût du jour de Camille Britte (2024) ; Jason et les royaumes de Bertille Zénobie (2024) ; Adieu bureau de Mehdi Pierret (2024) ; Essling de François Bierry & Thomas Van Zuylen (2024).
À Lyon, à l’Institut Lumière, commence le cycle K-Cinéma sur l’explosion du cinéma coréen (4 juin-20 juillet 2025).
Ce soir, ouverture :
* À 18h30 : A Bittersweet Life (Dalkomhan insaeng) de Kim Jee-woon (2005).
Présentation par Jérémy Cottin.
À Paris, à la Cinémathèque, c’est la reprise des films de la Semaine de la critique, 64e édition au Festival de Cannes 2025 (4-9 juin 2025).
Ce soir :
* À 20h00, salle Henri-Langlois : L’Intérêt d’Adam de Laura Wandel (2025).
Des reprises des films de la Semaine de la critique 2025, 64e édition, ont lieu également à Porto-Vecchio, à la Cinémathèque de Corse ; à Marseille, aux Variétés et à la Baleine ; à Nice, au Rialto ; à Fort de France, à la Martinique, au Tropiques Atrium.
À Milan, à la Cineteca (àl’Arlecchino) commence une Rétrospective Luis Ortega : follia e passione (4-6 juin 2025).
Ce soir :
* À 20h00 : Kill the Jockey (El Jockey) de Luis Ortega (2024).
À Marseille, au Vidéodrome2, commence un festival non commercial interdit aux mineurs, une expérience qui mobilise, provoque et brise les stéréotypes Porn sur Mars 2025 3e édition (4-8 juin 2025).
Ce soir, un livre et deux programmes de films courts :
* À 18h00, séance gratuite : Présentation du livre Pornoterrorisme. De l’autonomie du plaisir comme révolution de Diana J. Torres (éd. Milgrana
2025).
* À 19h30, Self Love : Indulgent Delights de Ryan Suits (2025) ; Indiposed de Hedonistas (2023) ; A Fantastic Technique de Sakura Ardilla Ortiz (2022) ; Narciso de Hedonistas (2022) ; Los tres juntos de Elena Vásconez (2023) ; Color Of Fuck de Hakan "Hapelles" Erdoğan (2024) ; Las Mantenidas de Rosario Veneno (2025).
* À 21h30, Political Party : How To Eat A Watermelon And Get Away With It de Iris Glitzer (2024) ; Fuck You Pay Me de Mercy St. James (2023) ; From Untamed Desire de Diego Argote (2022) ; Hambre de Andres Valenzuela (2022) ; Ode To Joy de Lola Pistola (2024) ; Open To Meraviglia de Werther Germondari (2025) ; What A Body Could Do de Mila Starosta & Hadrien Daigneault-Roy (2024) ; PT #1398 de Luca Federici (2023).
À Paris, au Nouvel Odéon, c’est le cinéclub des Monteurs associés. Il accueille Martine Barraqué, cheffe monteuse des six derniers films de François Truffaut.
Ce soir :
* À 20h15 : La Chambre Verte de François Truffaut (1978).
Les sorties sur les grands écrans
* Jardin d’été (The Friends) (Natsu no niwa) de Shinji Sōmai (1994).
* L’Été de Joe, Liz et Richard (L’estate di Joe, Liz e Richard) de Sergio Naitza (2022).
* Fragments d’un parcours amoureux (Frammenti di un percorso amoroso) de Chloé Barreau (2023).
* Sauve qui peut de Alexe Poukine (2023).
* Freud. La Dernière Confession (Freud’s Last Session) de Matt Brown (2023).
* Horizonte de César Acevedo (2024).
* La Terre des vertus de Vincent Lapize (2025).
* Le Répondeur de Fabienne Godet (2025).
* Dans la peau de Pascal Tessaud (2025).
La ressortie en version restaurée
* Ils vont tous bien ! (Stanno tutti bene) de Giuseppe Tornatore (1990).
À Francfort, au Deutsches Filminstitut Filmmuseum (DFF) commence un Cycle Otar Iosseliani (3-29 juin 2025).
Ce soir :
* À 20h30, les cinq premiers courts métrages géorgiens de Otar Iosseliani (1958-1968) : Akwarel (1958) ; Sapovnela (1959) ; Aprili (1961) ; Tudschi (1964) ; Dzweli kartuli simgherebi (1969).
À Paris, au Saint-André des Arts les Amis du Monde diplomatique de Paris soutiennent un documentaire avec plusieurs séances débats en partenariat avec le Collectif Jardin des vertus.
Ce soir, en avant-première :
* À 20h00 : La Terre des vertus de Vincent Lapize (2025).
En sa présence avec Colette Quesson.
Deux autres débats sont à venir :
* Mardi 10 juin 2025, à 20h00, avec le PEPS (Pour une écologie populaire et sociale) et le Revers de la Médaille.
* Lundi 16 juin à 20h00, en présence de Flaminia Paddeu.
Bonne lecture :
* Flaminia Paddeu, Sous les pavés, la terre. Agricultures urbaines et résistances dans les métropoles, Paris, Le Seuil, 2021.
À Marseille, au Gyptis une soirée spéciale, gratuite.
Ce soir :
* À 19h00 : Bâtiment 5 de Ladj Ly (2023).
En sa présence, avec Gael Barboza, Julio Iborra et Marie Antonelle Joubert, ainsi que Rokhaya Diallo et Trica Keaton.
Précédé du court-métrage F**K La Sororité de Gaël Barboza (2024)
À Paris, aux Ursulines, dans le cadre de Grand Écran, c’est le Ciné-club de Florence.
Ce soir :
* À 20h00 : L’Armée des ombres de Jean-Pierre Mevlille (1969).
À Paris, à la Maison Heinrich-Heine, une ciné-rencontre en avant-première (entrée gratuite, inscription conseillée).
Ce soir :
* À 19h30 : Les Ambassadeurs de la Collaboration de Jean-Marc Dreyfus & Pierre-Olivier François (2025).
En leur présence.
À Paris, à l’Auditorium du Carreau du Temple, c’est le cinécub CinéCaro, 11e saison.
Ce soir :
* À 19h30 : EO de Jerzy Skolimowski (2022).
En présence de Alain Kiet.
À Paris, au Musée du Jeu de paume
C’est la deuxième saison de la série The Unmanned (2014-2018) – une histoire de la computation informatique et de l’intelligence artificielle : Les Chambres obscures de l’IA ♯5
À travers des films documentaires, expérimentaux et artistiques, cette programmation conçue par Alice Leroy, explore les dimensions matérielles et sociales de l’intelligence artificielle, loin des représentations courantes du cinéma commercial qui la réduisent à une réplique du cerveau humain ou à une entité abstraite et désincarnée.
Ce soir :
* À 18h30 : The Everted Capital de Fabien Giraud & Raphaël Siboni (2022).
En leur présence.
À Bruxelles, à la Cinematek, commence un Cycle Carlos Reygadas.
Ce soir, à 19h00, un court et un long :
* Bataille dans le ciel (Batalla en el cielo) de Carlos Reygadas (2005).
* Este es mi reino de Carlos Reygadas (2010).
À Zurich, au Film Podium, carte blanche à Martin Girod, qui a été codirecteur visionnaire et énergique du cinéma et propose sa " machine à fantasmes" : Phantasiemaschine Kino (2 juin-5 juillet 2025).
Ce soir :
* À 18h00 : Un jour, un chat... (Az prijde Kocour) aka Wenn der Kater kommt de Vojtech Jasný (1963).
À Paris, à la Maison Heinrich-Heine, c’est le cinéclub, avec 4 courts métrages de Roland Klick, en entrée libre sur inscription.
Ce soir, à 20h00 :
* Weihnacht (1962) ;
* Ludwig (1964) ;
* Zwei (1965) ;
* Jimmy Orpheus (1966).
À Bruxelles, à la Cinematek, commence un Cycle Jack Nicholson (1er-28 juin 2025).
Ce soir :
* À 20h00 : Blue Jeans 1920 (Studs Lonigan) de Irving Lerner (1960).
Au programme, également, un Hommage au producteur Godefroid Courtmans (1er-12 juin 2025).
Ce soir :
* À 18h00 : La Gueule de bois (Verloren maandag) de Luc Monheim (1973).
À Madrid, la Cineteca, célèbre l’anniversaire de la trilogie de Richard Linklater (Before Sunrise, Before Sunset, Before Midnight), sortie entre 1995 et 2013 : Trilogía antes de... (1er-15 juin 2025).
Ce soir :
* À 20h00, sala Azcona : Before Sunrise aka Antes del amanecer de Richard Linklater (1995).
À La Gacilly, en Bretagne, commence le Festival international Photo 2025, 22e édition (1er juin-5 octobre 2025).
C’est le plus grand festival Photo en plein air d’Europe, en libre accès.
Au programme :
* 20 expositions et deux thèmes : So British (pays invité le Royaume uni).
Et, comme chaque année les enjeux environnementaux.
Depuis 2018, le Festival Photo La Gacilly s’est s’exporté à Baden en Autriche (13 juin-12 octobre 2025).
Cette année, c’est la 6e édition. Elle présente avec une nouvelle mise en espace, l’intégralité de la programmation 2022 Visions d’Orient.
Le Monde diplomatique de juin 2025 est paru.
Au fil du temps, tous les éditos
2025 : Journal de Pierre Vernant
* Pierre Vernant-édito 2025 ; 1er-15 janvier 2025 ; 16-31 janvier 2025 ; 1er-15 février 2025 ; 16-28 février 2025 ; 1er-15 mars 2025 ; 16-31 mars 2025 ; 1er-15 avril 2025 ; 16-30 avril 2025 ; 1er-15 mai 2025 ; 16-31 mai 2025 ; 1er-15 juin 2025
Au fil du temps, tous les éditos
À Bologne, à la Cineteca commence une Rétrospective Lars von Trier (31 mai-2 juin 2025).
Ce soir :
* À 22h15, au Modernissimo : Dogville de Lars von Trier (2003).
À Londres, à la Tate Modern se tient The Genesis Exhibition : Do Ho Suh : Walk the House (1er mai-19 octobre 2025).
Do Ho Suh est d’origine coréeenne, il est basé à Londres.
Cette exposition est une sorte de bilan de son œuvre (installations, sculptures, vidéos et dessins à grande échelle). Il y explore l’énigme du foyer, de l’identité et de la façon dont nous nous déplaçons et habitons l’architecture, avec nos souvenirs, à travers des répliques grandeur nature de maisons passées et présentes, à Séoul, New York et Londres.
À Brooklyn, commence le BRKLN Film Festival 2025 (BFF), 28e édition (30 mai-8 juin 2025).
Au programme :
Ce soir, Opening Night :
* À 19h00 : This Will Never Work de Marina Tempelsman & Niccolo Aeed (2024).
À Zurich, au FilmPodium, commence un cycle
Nick Cave : Poet of Loss and Ruination (30 mai-5 juillet 2025).
Nick Cave va donner 3 concerts à Zurich (10-12 juin 2025).
À cette occasion le FilmPodium programme un cycle qui montre les nombreuses facettes artistiques de cet artiste pluridisplinaire, et notamment son côté moins connu en tant que compositeur de musique de film et scénariste.
Ce soir :
* À 20H45 : 20 000 jours sur Terre (20’000 Days on Earth) de Iain Forsyth & Jane Pollard (2014).
À Paris, à la Cinémathèque, commence la rétrospective Le cinéma chinois au féminin (29 mai-2 juin 2025).
Présentation par Violet Wang : Elles se construisent en créant.
Ce soir, ouverture :
* À 20h00, salle Henri-Langlois : Woman Demon Human (Rén guǐ qíng) de Huang Shuqin (1987).
Présentation par Jinhua Dai.
À New York, au Lincoln Center et au MoMA, commence le festival de cinéma italien Open Roads : New Italian Cinema 2025, 24e édition (29 mai-5 juin 2025).
Au programme, des premières de cinéastes, débutants ou reconnus, et des débats avec 14 cinéastes présents
Aujourd’hui :
*À 15h30 : Diamonds (Diamanti) de Ferzan Özpetek (2024).
* À 19h00 : Prima la vita (Il tempo che ci vuole) aka The Time It Takes de Francesca Comencini (2024).
En présence de Fabrizio Gifuni.
À Paris, commence Ciné Palestine Paris 2025, 11e édition (29 mai-8 juin 2025).
En 2025, le festival a débuté avec Ciné Palestine Marseille, 4e édition (22 mai-25 mai 2025).
L’ouverture parisienne se tient au Luminor Hôtel de Ville (29 mai-1er juin 2025). La programmation se poursuivra en Île-de-France à Fontenay-sous-Bois (Kosmos), à Saint-Denis (L’Écran), à Stains (Espace Paul-Eluard).
Et s’achèvera à Ivry-sur-Seine (Le Luxy).
Ce soir, ouverture, à 20h00, au Luminor :
* À 20h00, au Luminor : Some Strings : Round Image & Sound, 1901-2024. The cinema of solidarity de Sarah Wood (2024) ; Morts pour la Palestine de Mamoun Bonni (1974) ; Vidéotracts pour la Palestine du collectif Video Tract For Palestine (2025).
En présence de Mamoun Bonni et de membres du collectif Urgence Palestine.
À Paris, au Saint-André des arts, commence le festival international de courts métrages de cinéma expérimental CosmiX 2025, 4e édition (29-31 mai 2025).
Ce soir :
* À 20h00 : Aggro Dr1ft de Harmony Korine (2023).
Présentation par Théodore Anglio-Longre.
À Paris, à la Cinémathèque, commence une Rétrospective John M. Stahl (28 mai-29 juin 2025).
Présentation par Hala Habache : Œuvre de vies et de silences.
Ce soir, ouverture :
* À 20h00, salle Henri-Langlois : Images de la vie (Imitation of Life) de John M. Stahl (1934).
À Paris, dans plusieurs cinémas
à L’Arlequin, au Mk2 Quai de Seine, au Pathé Convention et à l’UGC Gobelins, c’est la reprise des films de la section Un Certain Regard du Festival de Cannes 2025 (28 mai-3 juin 2025).
Ce soir, à l’Arlequin :
* À 18h00 : Lumière pâle sur les collines (Tôi Yama-nami no Hikari) de Kei Ishikawa (2025).
* À 20h30 : L’Inconnu de la Grande Arche de Stéphane Demoustier (2025).
À New York, au MoMA commence le cycle Queer and Uncensored (28 mai–27 juin 2025)
Ce cycle est une célébration cinématographique de la sexualité, de l’amour et du militantisme lesbien, gay et transgenre qui présente sept décennies de films pionniers et marquants, ainsi que des œuvres moins connues ou marginalisées.
Aujourd’hui, à16h30, deux films :
* Salomé de Charles Bryant & Alla Nazimova (1922).
* Fuses de Carolee Schneemann (1965).
Les sorties sur les grands écrans
* Monsieur Constant de Alan Simon (2023).
* Chime de Kiyoshi Kurosawa (2024).
* Another End de Piero Messina (2024).
* The Phoenician Scheme de Wes Anderson (2025).
* Hot Milk de Rebecca Lenkiewicz (2025).
* Shimla, une fugue des temps modernes de Johan Reboul & Victoria Guillomon (2025).
Les ressorties en versions restaurées
* Lili Marleeen de Rainer Werner Fassbinder (1981).
* Le Peuple migrateur de Jacques Perrin, Jacques Cluzaud & Michel Debats (2001).
À Argelès, au cinéma Jaurès, commencent les Rencontres Cinémaginaire 2025, 40e édition (27 mai-1er juin 2025).
Au programme, une thématique : Vive le cinema !
Aujourd’hui :
* À 14h00 : Une pointe d’amour de Maël Piriou (2025).
Ce soir :
* À 18h30 : Les 40 ans du festival. Inauguration des nouveaux aménagements du cinéma Jaurès avec prises de paroles.
* À 19h30 : Inauguration de l’exposition à la médiathèque 40 ans du Festival et hommage à Nadya Bazas
* À 21h00 : Tornarem de Felip Solé (2011).
En sa présence.
À Cannes, commence le Festival international du film écologique et écocial 2025 (FIFES), 5e édition (27 mai- 1er juin 2025).
Au programme :
* Thématique : L’eau notre source d’inspiration.
* Compétition internationale.
Et Jury.
* Courts métrages hors compétition.
* Artistes créateurs de trophées.
Aujourd’hui, ça commence dès le matin :
* À 9h30, Olympia : Moon, le panda de Gilles de Maistre (2025).
* À 14h00, Miramar : Il était une fois dans la forêt (Havumetsän lapset) de Virpi Suutari (2023).
* À 18h00, Miramar : Les courts métrages intergénérationnels.
Demain 28 mai 2025, cérémonie d’ouverture :
* À partir de 16h30, en plein air sur la Place de la Castre : Marché des Créateurs, Aubade au Marché Forville, Aubade et danse traditionnelle sur la Place de la Castre, Cérémonie d’ouverture et cocktail dînatoire, Conférence de Nelly Pons, Spectacle de danse de la Compagnie Les Somatonautes.
* À 21h30 : L’Appel de la forêt (The Call of the Wild) de Chris Sanders (2020).
À Francfort, en coopération avec la Japan Foundation,
la JaDe Foundation et le Kulturfonds Frankfurt RheinMain, commence le Nippon Connection Film Festival 2025, 25e édition (27 mai-1er juin 2025).
C’est le plus grand festival mondial dédiée au cinéma japonais. Il se déroule chaque année pendant six jours au début de l’été dans différents lieux de Francfort-sur-le-Main. Son programme cinématographique et culturel unique couvre un large éventail d’événements, incluant des aspects traditionnels et modernes de la culture japonaise, avec des raretés historiques du Japon au Deutsches Filminstitut & Filmmuseum.
Ce soir, cérémonie d’ouverture :
* À 19h00, au Arthouse Kino : 90 Years Old - So What ? (Kyu Ju Sai. Nani ga Medetai) de Tetsu Maeda (2024).
À partir de demain, 28 mai 2025 au Deutsches Filminstitut & Filmmuseum (DFF)
* À 18h00 : Le Fil blanc de la cascade (Taki no shiraito) aka The Water Magician de Kenji Mizoguchi (1933).
À Paris, à l’Institut du monde arable (IMA), se tient l’exposition Trésors sauvés de Gaza. 5000 ans d’histoire (3 avril-2 novembre 2025).
Depuis 2007, le Musée d’art et d’histoire de Genève (MAH) est devenu le musée-refuge d’une collection archéologique de près de 529 œuvres appartenant à l’Autorité nationale palestinienne et qui n’ont jamais pu retourner à Gaza : ces amphores, statuettes, stèles funéraires, lampes à huile, figurines, mosaïque..., datant de l’âge du bronze à l’époque ottomane, forment un ensemble devenu une référence au vu des destructions récentes.
Ce soir, un film :
* À 20h00 : Pour l’honneur de Gaza (Once Upon a Time in Gaza) de Iyad Alastall (2025).
En Corse, à Corte, l’Università di Corsica célèbre le tricentenaire de la naissance de Pasquale Paoli (1825-1907).
À Bastia, à cette occasion, Casa di e Lingue et Arte Mare organisent une soirée cinéma avec la projection de deux films en plein air, à 21h00, entrée gratuite.
* Paoliwood de Lionel Dumas Perini (2023).
* James "Corsica" Boswell de Lionel Dumas Perini (2024).
En sa présence.
À Paris, au Majestic Bastille, c’est le cinéclub des Scénaristes de cinéma associés Intérieur/Nuit #6.
Ce soir :
* À 20h15 : Omar m’a tuer de Roschdy Zem (2010).
En présence du co-scénariste Olivier Gorce, avec Hedi Sassi.
Rencontre sur le thème de l’écriture de film sur un fait judiciaire.
À Paris, au Forum des images
dans le cadre de 100% doc saison 2024-2025 chaque mardi (24 septembre 2024-6 juillet 2025), le Centre Simone-de-Beauvoir, présente un documentaire sur la première femme océanographe française, Anita Conti, embarquée en 1952 sur un chalutier de pêche à la morue en Atlantique.
Ce soir :
* À 21h00 : Voyage de documentation de Madame Anita Conti de Louise Hémon (2023).
En sa présence.
À Lyon, aux Théâtre des Célestins Philippe Torreton a adapté et joué le long poème de Jean Genet en s’entourant d’un acrobate et d’un musicien : Le Funambule de Jean Genet (6-10 mai 2025).
Aujourd’hui, il revient à l’Institut Lumière
Ce soir :
* À 18h30 : Souvenirs de Bertrand Tavernier par Philippe Torreton.
Lecture de passages de Mémoires interrompus de Bertrand Tavernier (Institut Lumière/Actes Sud, 2024).
* À 20h30 : Capitaine Conan de Bertrand Tavernier (1997).
Présentation de Philippe Torreton.
Bonne lecture :
* Philippe Torreton Un cœur outragé, Paris, Calmann-Lévy, 2024.
Marcel Ophuls (1927-2025) est mort samedi dernier, le 24 mai 2025.
On connaît Marcel Ophuls pour deux raisons principales : son haut fait d’arme avec Le Chagrin et la Pitié (1969), et à cause de la célébrité de son père, Max Ophüls (1902-1957). Il en a toujours eu bien conscience d’ailleurs, puisque, quand il écrit son autobiographie, en 2014, à 87 ans, il l’intitule Mémoires d’un fils à papa.
Et, en effet, toute son œuvre (23 films, dont 8 téléfilms entre 1958 et 2013) est une sorte de reflet de son histoire tourmentée.
Cette histoire commence vraiment en 1933, à Berlin. Cette année-là, après avoir été l’assistant de Anatole Litvak en 1931 et réalisé un court et un long métrage en 1932, son père, Max Ophüls, a réalisé deux nouveaux longs métrages, Lachende Erben, et Liebelei qui est à l’affiche et est un succès prometteur. L’incendie du Reichstag a lieu la nuit du 17 février 1933. La famille est juive et ses parents sont des personnage publics, au théâtre puis au cinéma, depuis 1926 - sa mère est l’actrice Hildegard Wall. Ils doivent quitter le pays natal de façon urgente, et ils le font à regret. Marcel Ophüls a 6 ans.
Ils s’installent d’abord en France, y acquièrent la nationalité française. Et Max Ophuls y reprend une carrière, en France et en Italie, avec une douzaine de films entre 1934 et 1940. En 1940, la défaite française et l’occupation allemande obligent à un nouveau départ, interrompant le tournage d’un film en cours avec Louis Jouvet et Madeleine Ozeray, L’École des femmes. Ils repartent cette fois pour l’Espagne, puis le Portugal, avant de s’embarquer vers les États-Unis, où son père est encore obligé de recommencer. Entre 1946 et 1949, sur les cinq films qu’il réussit à y tourner, seul Lettre d’une inconnue (1948) est vraiment demeuré dans les mémoires. C’est à partir de 1950, de retour en France qu’il va tourner ses chefs d’œuvre, La Ronde (1950), Le Plaisir (1952), Madame de... (1953), Lola Montès (1955), son dernier films. Il meurt jeune, à 54 ans.
Pendant la difficile période américaine de son père, Marcel Ophuls joue quelques petits rôles, avec Frank Capra & Anatole Litvak, Prélude à la guerre (1942) ou Michael Curtiz, dans Passage to Marseille (1944), puis il est enrôlé dans l’armée, et envoyé au Japon. Il racontera ces aventures dans son dernier film, autobiographique, Un voyageur (2013), sélectionné au Festival de Cannes, mais inédit en salle en France.
C’est en France, alors que son père s’est stabilisé, qu’il peut enfin devenir plus autonome, avec des débuts classiques en tant qu’assistant de Jean Dréville, de Julien Duvivier ou de son père, sur Lola Montès. Après la mort de son père en 1957, il réalise quelques courts métrages pour la télévision signés avec le nom de sa mère, Marcel Wall. Puis à partir de 1960, cinq films : un documentaire sur Matisse, une "saynette" dans L’Amour à vingt ans (Berlinale 1962), aux côtés Shintarō Ishihara, Renzo Rossellini, François Truffaut, Andrzej Wajda, et trois fictions qui ne rencontrent guère de succès.
Ce n’est qu’en 1969, à 31 ans, qu’il connaît la célébrité avec son documentaire Le Chagrin et la pitié, réalisé avec comme scénaristes André Harris & Alain de Sédouy. Cette chronique d’une ville française sous l’occupation (Clermont-Ferrand) mêle archives et entretiens, où l’image de la France résistante dans son ensemble se révèle relever de la légende. Diffusé à la télévision allemande (coproductrice) dès 1969, le film connaît une virulente controverse en France, et des critiques de tous bords. Il est refusé par l’ORTF, notamment à cause de Simone Veil. Du coup, il sort en salle, au Saint-Séverin, en avril 1971, puis, devant son succès public, dans d’autres salles. Il est présenté dans des festivals internationaux, et, en 1972, il reçoit finalement le Prix Meilleur Programme télévisé étranger au BAFTA (Diffusion Allemagne, Suisse, Pays-Bas et États-Unis). Et il est nommé à l’Oscar du meilleur film documentaire en 1972.
Marcel Ophuls ne rencontrera plus jamais une renommée aussi historique, mais il faut noter spécialement un autre de ses films, Hôtel Terminus (1988), sous-titré "Klaus Barbie, sa vie et son temps", sélectionné officiellement par le Festival de Cannes 1988 dans la section Un certain regard, Meilleur documentaire à la Berlinale 1989 et Oscar 1989 du meilleur film documentaire. Dans l’entretien réalisé par Jeune Cinéma à propos de ce film, il parle aussi de lui et des escapades familiales heureuses en Suisse, pendant la guerre, grâce au statut privilégié de son père.
Entre 1972 et 2013, il a réalisé une série de documentaires, tous plus ou moins liés à son histoire, la guerre et l’Allemagne. Avec des sujets brûlants : le conflit en Irlande du Nord (A Sense of Loss, 1971) ; la façon dont les violences commises en temps de guerre peuvent et doivent être jugées (L’Empreinte de la justice, 1976) ; ou encore une ambitieuse réflexion sur le journalisme en temps de guerre (Veillées d’armes, 1994), César du meilleur documentaire 1995.
À son crédit, aussi, une dizaine de téléfilms etre 1957 et 1990, dont le dernier sur la chute du mur de Berlin et ses conséquences avec November Days (1990).
À chaque fois, Marcel Ophüls part à la recherche de témoins, qu’il ne ménage pas, confirmant ou infirmant leurs dires avec des images d’archives. Son œuvre est un cinéma d’enquête, qui ne s’est jamais revendiqué comme objectif.
Bonne lecture :
* Marcel Ophuls, Mémoires d’un fils à papa, Paris, Calmann-Lévy, 2014.
À Paris, aux 7 Parnassiens au Balzac et au Pathé Les Fauvettes, commence le Festival du cinéma chinois de Paris 2025, 16e édition (26 mai-14 juin 2025).
Au programme :
* Invités d’honneur : Wang Chao ; Ning Jingwu ; Hu Mei ; Liu Miaomiao ; Dai Wei ; Lin Peng.
* Colloques, au Centre culturel chinois.
* Projections exceptionnelles.
Ce soir, cérémonie d’ouverture :
* À 20h00, au Balzac : Le Rêve dans le Pavillon rouge (Hong lou meng) de Hu Mei (2024).
En sa présence, avec l’équipe du film.
À Paris, à la Maison Heinrich-Heine, une ciné-rencontre gratuite :
Ce soir :
* À 20h00 : The Heart is a Hungry Hunter de Sandra Prechtel (2013).
En sa présence.
Mohammed Lakhdar-Hamina (1934-2025) est mort à Alger, ce mardi 23 mai 2025.
On appris sa mort au Festival de Cannes au moment où Cannes Classics célébrait le 50e anniversaire de la palme d’or qu’il avait obtenue, en 1975, pour Chronique des années de braise, l’unique Palme d’or africaine. Il n’avait pas pu se déplacer et c’est son fils qui assistait à cette célébration.
Mohammed Lakhdar-Hamina était un fils de paysans des hauts plateaux du Nord-Est de l’Algérie. Il avait d’abord rejoint l’école d’agriculture, et avait continué ses études en France. Son père fut torturé et tué pendant la guerre. Appelé sous les drapeaux de l’armée française à 24 ans, en 1958, il avait choisi de rejoindre le gouvernement provisoire de la République algérienne (GPRA) qui venait de se former à Tunis, sous la présidence de Ferhat Abbas. C’est là qu’il avait d’abord appris le métier de cinéaste sur le tas, aux actualités tunisiennes, réalisant des courts métrages et des documentaires et avait ensuite intégré l’Académie du cinéma de Prague.
À l’indépendance, il avait créé l’Office des actualités algériennes (OAA), qu’il a dirigé de 1963 à sa dissolution en 1974. En 1981, il avait la direction de l’Office national pour le commerce et l’industrie cinématographique (ONCIC) qu’il avait quitté en 1984.
À son actif, comme artiste, il n’a que 13 films, réalisés entre 1959 et 2014, ses cinq premiers courts métrages compris. Mais dès son premier long métrage de fiction, réalisé en 1966, il a été reconnu : Le Vent de Aurès (Rih al awras), est sélectionné en compétition au Festival de Cannes, et reçoit le Prix de la première œuvre en 1967.
Deux autres de ses films, Vent de sable (1982) et La Dernière Image (1986) y ont été sélectionnés en compétition.
Toute son œuvre, qui ne comprend qu’un seul documentaire - Mais un jour de novembre (1964) - son premier long métrage en 1964, est imprégnée de son histoire, celle de sa famille, celle de son pays.
Et tout particulièrement son chef d’œuvre, Chronique des années de braise (Waqai sinin al-djamr, 1975).
En 6 chapitres, il y raconte la guerre d’Algérie, avec des faits précis, depuis les premiers mouvements de résistance jusqu’à l’insurrection la Toussaint rouge en 1954, quand il a eu 20 ans.
Il dira : "J’avais envie d’expliquer pour la première fois comment est arrivée la guerre d’Algérie. Cette révolte, qui est devenue la révolution algérienne, est non seulement contre le colonisateur, mais aussi contre la condition de l’homme. Mais mon film n’est qu’une vision personnelle".
Il dira aussi : "Je n’ai pas la prétention d’écrire l’histoire du peuple algérien".
Pourtant, c’est ce qu’il a fait, avec humilité. Son fils, à Cannes cette année a déclaré : "À travers ce film, Mohamed Lakhdar-Hamina a tendu la main pour rassembler et non diviser. Il a fait du cinéma une terre d’accueil".
Sebastião Salgado (1944-2025) est mort hier, le 23 mai 2025 à Paris.
Brésilien, réfugié politique en France, grand "reporter" de la forêt amazonienne, il était plutôt un citoyen du monde, grand témoin de l’état de la planète, avec ses voyages du Rwanda à l’Indonésie, du Guatemala au Bangladesh, ou, aussi, à la cité des 4000 à La Courneuve, à la demande du Parti communiste.
"L’un des plus grands et meilleurs photographes que le monde ait connus", a salué le président Lula.
À Rovereto, au Musée d’art moderne (MART) et à Trente au MUSE à l’occasion de l’année internationale consacrée aux glaciers, se tient actuellement une exposition Sebastião Salgado. Ghiacciai (12 avril-21 septembre 2025).
Elles ont été organisées à partir d’une idée du Trento Film Festival, le plus ancien festival international du film consacré à la montagne, à l’aventure et à l’exploration.
Bon anniversaire à Bob Dylan, 84 ans aujourd’hui.
À Cannes, pendant que le jury du Festival, présidé par Juliette Binoche délibère, pendant toute la journée, c’est la reprise des films de la compétition officielle.
Ce soir, malgré la panne d’électricité qui a frappé tout l’est des Alpes maritimes, suite à des "actes de malveillance" (deux incendies volontaires d’un poste électrique dans le Var et plusieurs pylônes sciés), et grâce à son groupe électrogène, la cérémonie de clôture, aura bien lieu, présentée par Laurent Lafitte, avec la grande distribution des prix.
À partir de 18h40 en direct sur France 2, puis en replay.
À Marseille, au Vidéodrome2, on fête les 80 ans de Peuple et Culture (et 22 ans pour l’antenne marseillaise) ce week-end : Cycle Ce qui nous tient (24 mai-2 novembre 2025).
Ce soir :
* À 20h00 : Fréquence Julie de Mia Ma (2021).
Et demain, dimanche 25 mai 2025, à 20h00 :
* Clichy pour l’exemple de Alice Diop (2006).
* Kindertotenlieder de Virgil Vernier (2020).
À New York, au MET se tiennent deux expositions de printemps :
* Monstrous Beauty. A Feminist Revision of Chinoiserie (25 mars-17 août 2025).
* The New Art : American Photography, 1839–1910 (11 avril-20 juillet 2025).
À Paris, à l’Académie du climat, c’est un week-end Écologie et résistance (24-25 mai 2025).
Avec notamment le Nouvel Obs, la Fondation Jean-Jaurès, la
Fondation Edgar-Morin,* À 14h00 : État des lieux du backlash écologique.
Avec Benoît Calatayud, Amélie Deloffre, Léonard Dermarkarian, Sébastien Billard.
* À 14h45 : Conversation sur les stratégies de résistance.
Avec Cyril Dion, Arnaud Gonzague.
* À 15h30 : Comment nos cerveaux réagissent au déni écologique ?
Avec Albert Moukheiber, Xavier de La Porte.
* À 16h30 : La géopolitique du backlash.
Conférence de Pierre Haski.
* À 17h00 : Conférence d’introduction à la complexité du monde contemporain.
Avec Fausto Fraisopi, Christopher Yggdre, Jean-Marc Loubet.
* À 17h30 : Empêcher la contagion des discours anti-écolos.
Table ronde avec Thomas Legrand.
* À 18h30 : Greenwashing Comedy Club.
Avec Anne Dupin, Ameziane, Le Roi Borgne, Claire Isirdi, Paul Scarfoglio.
Demain dimanche 25 mai 2025, des projections, à 15h30 : Climato-relativisme et backlash.
* Vivons-nous un backlash écologique ? Enquête sur les résistances à l’égard de la transition verte de Romane Levi (2025).
* La Guerre de l’info sur le climat de Zoé de Bussierre & Roberto Garçon (2025).
À Tarifa et à Tanger, sur les deux rives continentales du détroit de Gibraltar, commence le Festival de cinéma africain 2025 (FCAT), 22e édition (23-31 mai 2025).
À l’origine, simple Muestra de Cine Africano (2004-2006), créée à l’initiative de l’ONG Al Tarab, à Tarifa en 2004, elle est devenue un festival compétitif en 2007, puis, au long des années, a développé un large éventail d’activités associées (expositions d’art visuel, performances, ateliers, section jeune public, engagement auprès de l’industrie cinématographique africaine). Ile festival s’est tenu aussi à Cordoue (2012-2015). Il a actuellement des extensions à Algeciras, Cordoue, Madrid, Séville, et Los Toruños.
Au programme :
* Prix Perspectives africaines au cinéaste franco-marocain Saïd Hamich Benlarbi.
* Compétitions : Hipermetropía (longs métrages du Cameroun, Algérie, Maroc, Tunisie, Soudan, Égypte, Somalie, République démocratique du Congo, Rwanda, Afrique du Sud, Cap-Vert et USA) ; En breve (courts métrages de Maghreb, Mauritanie, Cap-Vert, Éthiopie, La Réunion, Île Maurice, Afrique du Sud, Haïti et Canada).
Et Jury.
* Hors compétition : La Tercera Raíz ; Miradas Españolas ; Ecos del Cuerno – Retrospectiva ; Sesiones especiales.
* Rencontres : Arbol de las Palabras ; Encuentros temáticos
Ce soir, cérémonie d’ouverture, à Tanger :
* À 19h00, cinéma Alcázar : Samia de Yasemin Şamdereli & Deka Mohamed Osman (2024).
En sa présence, avec le maire de Tanger, Mounir Laymuri et celui de Tarifa, José Antonio Santos Perea.
Présentation par Marta Jiménez.
Accompagnement musical : Javier Prieto (percussionniste) & Omar Bel Lahmar (violoniste)
À Tarifa :
* À 21h00, Teatro Alameda : Samia de Yasemin Şamdereli & Deka Mohamed Osman (2024).
Presentation par Marion Berger et Federico Olivieri.
À Paris, à la Cinémathèque, à l’occasion de l’exposition Wes Anderson (19 mars-27 juillet 2025), une leçon de cinéma.
Ce soir :
* À 18h00, salle Henri-Langlois : Robert Yeoman par Robert Yeoman.
Avec Laurent Mannoni et Isaac Gaido-Daniel.
Suivie de :
* The Grand Budapest Hotel de Wes Anderson (2014).
À Marseille, en partenariat avec Films Femmes Méditerranée et La BaaM s’ouvre le Festival Ciné-Palestine 2025, 4e édition (22-25 mai 2025).
Créé en 2015, il se tient chaque année dans plusieurs lieux à Paris et en Île-de-France, et, depuis 2022, à Marseille.
Ce soir, ouverture :
* À 20h00, aux Variétés en présence de Marianne Barakat :
* If I forget thee, Gaza de Vincent Guilbert (2024).
* Mawtini de Marianne Barakat (2024).
* Familiar Phantoms de Larissa Sansour & Søren Lind (2023).
* Upshot de Maha Haj (2024).
À Paris et région parisienne, le Festival CinéPalestine 2025 en sera à sa 11e édition (29 mai-8 juin 2025).
À Paris, c’est la reprise des films primés du Festival international Jean Rouch 2025, 44e édition (8-15 mai 2025).
Aujourd’hui au Musée de l’Homme :
* À 14h00 : Rashid, l’enfant de Sinjar (Rashid, the boy from Sinjar) de Jasna Krajinovic (2025).
* À 15h30 : La Saison perdue (The Lost Season) de Mehdi Ghanavati (2024).
* À 16h45 : Tongo Saa. Rising Up at Night de Nelson Makengo (2024).
Et samedi 24 mai 2024 au Reflet Médicis
* À 14h00 : We Are Inside de Farah Kassem (2024).
* À 18h00 : Nocturnes de Anirban Dutta (2024).
* À 20h00 : Marching in the Dark de Kinshuk Surjan (2024).
À Londres, au British Museum, s’ouvre une nouvelle exposition Ancient India, Living Traditions (22 mai-19 octobre 2025).
C’est l’une des premières grandes expositions au monde à examiner l’art dévotionnel primitif de l’Inde d’un point de vue multiconfessionnel, contemporain et mondial.
Elle explore les origines de l’art sacré hindou, jaïn et bouddhiste chez les esprits anciens et puissants de la nature de l’Inde, ainsi que sa diffusion au-delà du sous-continent.
À Paris, au Grand Action, commence un Cycle Wes Anderson, avec tous ses premiers films (21-27 mai 2025).
Aujourd’hui :
* À 14h00 : Asteroid City de Wes Anderson (2023).
* À 16h00 : L’Île aux chiens (Isle Of Dogs) de Wes Anderson (2018).
* À 18h00 : Fantastic Mr. Fox de Wes Anderson (2007)
* À 21h00 : Rushmore de Wes Anderson (1998).
À Paris, au Forum des images, la Cinémathèque du documentaire hors les murs présente une Soirée France Télévisions.
Ce soir :
* À 19h30 : Rashid, l’enfant de Sinjar de Jasna Krajinović (2024).
En sa présence, avec Cecile Lestrade et Élise Hug.
À Grenoble, au Cinéclub, se poursuit le cycle Comédies dejantées (7-28 mai 2025).
Ce soir :
* À 19h00 : Indiscrétions (The Philadelphia Story) de George Cukor (1940).
À Paris, au Louvre, se tiennent deux nouvelles expositions :
* Mamlouks (1250-1517) (30 avril-28 juillet 2025).
* Une passion chinoise. La collection de monsieur Thiers (14 mai-25 août 2025)
À Paris, au Maltais Rouge, la Société Louise-Michel invite à une conférence.
Ce soir :
* À 19h00 : Ce tour de bonneteau derrière ladite civilisation judéo-chrétienne.
Conférence de Sophie Bessis.
Bonne lecture :
* Sophie Bessis, La Civilisation judéo-chrétienne. Anatomie d’une imposture, Paris, Les liens qui libèrent, 2025.
Les sorties sur les grands écrans
* Libertate de Tudor Giurgiu (2023).
* Ollie de Antoine Besse (2024).
* Mission : Impossible – The Final Reckoning de Christopher McQuarrie (2025).
Et :
* La Venue de l’avenir de Cédric Klapisch (2025), le jeudi 22 mai 2025.
* Jeunes Mères de Luc & Jean-Pierre Dardenne (2025), le vendredi 23 mai 2025.
Les ressorties en versions restaurées
* Le Sang d’un poète de Jean Cocteau (1932).
* Le Testament d’Orphée de Jean Cocteau & Jacques Pinoteau (1960).
* Trois Hommes et un couffin de Coline Serreau (1985).
À Paris, au Centre culturel coréen le Cinéclub Corée propose Taste Korea 2025 - Île de Jeju (20 mai-6 juin 2025).
Il s’agit d’une sélection spéciale autour de l’île de Jeju, mettant à l’honneur cinq longs-métrages et documentaires consacrés à cette île emblématique, pour accompagner l’exposition Île de Jeju, vivre avec la mer, qui va commencer (22 mai-6 septembre 2025).
Ce soir :
* À 19h00 : La Légende des fleurs de mer (Mulkkoch-ui jeonseol) de Koh Hee-young (2023).
En sa présence.
À Paris, à l’Auditorium Charles-Brabant de la SCAM, on est invité à voir le dernier film de Manuela Morgaine (Envers Compagnie).
Ce soir, sur réservation :
* À 19h30 : Kintsugi de Manuela Morgaine (2025).
À Grenoble, au Cinéclub, se poursuit le cycle Henri-Georges Clouzot.
Ce soir :
* À 19h00, cinéma Juliet-Berto : Quai des orfèvres de Henri-Georges Clouzot (1947).
À Paris, au Centre Pompidou se tient l’exposition Paris noir Circulations artistiques et luttes anticoloniales, 1950-2000 (19 mars-30 juin 2025).
À l’Archipel, : Echos Paris Noir
Ce soir, à 20h00 :
* Zaptrap de Elsie Haas (1980).
* Nationalité Immigré de Sidney Sokhona (1975).
Présentation par Elsie Haas.
NATIONALITÉ : IMMIGRÉ (Sidney Sokhona, 1975) from Spectacle on Vimeo.
À Paris, après la banlieue, au Luminor, se poursuit, du 19 au 22 mai 2025, le Decolonial Film Festival 2025, 2e édition (12-25 mai 2025)
Ce soir :
* À 20h00 : Three promises de Youssef Srouji (2023).
À Paris, à la Maison Heinrich-Heine, c’est le ciné-club gratuit.
Ce soir :
* À 20h00 : Supermarkt de Roland Klick (1974).
À New York, au MET, commence l’exposition Lorna Simpson : Source Notes (19 mai-2 novembre 2025).
Née en 1960, elle est l’une des premières femmes afro-américaines à exposer à la Biennale de Venise (en 1990). Son œuvre est protéiforme (photographie, sculpture, collage, peinture et film). Sa première rétrospective européenne a été inaugurée au Jeu de Paume, à Paris en 2013.
C’est la Nuit européenne des musées 2025, 21e édition.
Plus de 3 000 musées à travers la France et l’Europe participent à cet événement en ouvrant gratuitement leurs portes à des visiteurs de tous âges et horizons.
* Un vaste programme européen, avec des spectacles.
* Le programme à Paris et en Île de France.
Tout est gratuit.
Notamment au Louvre.
À Zurich, au Film Podium, : Pierre Koralnik : Zwischen Kunst und Pop (17 mai-11 juin 2025).
Une sélection éclectique de neuf films, entre art et pop, en hommage au cinéaste suisse, né en 1937.
Ce soir :
* À 18h30 : Anna de Pierre Koralnik (1967).
À Paris, à la Maison de la poésie une rencontre proposée par Céline Hersant & Fabrice Thumerel : Novarina, de A à Z (lecture, musique & projection).
Ce dont on ne peut parler c’est cela qu’il faut dire.
Ce soir :
* À 19h30 : La Dormition de Polichinelle de Raphaël O’Byrne & Valère Novarina (2010).
En leur présence avec Gilles Costaz, Jean-Pierre Thibaudat, Claude Buchvald, Céline Schaeffer, Marie-Laure Desjardins, Patrick Suter. Et Mathias Lévy au violon.
Bonne lecture :
* Céline Hersant & Fabrice Thumerel, éds., Dictionnaire Valère Novarina, éd. HDiffusion, 2025.
À Zurich, au FilmPodium, commence un nouveau cycle : Wes Anderson : Symmetrie aus den Fugen (16 mai-6 juillet 2025).
Ce soir :
* À 20h45 : Asteroid City de Wes Anderson (2023).
Et aussi, demain, samedi 17 mai 2025 commence un autre cycle Inselfilme : Lichtspiele des Mittelmeers (17 mai-29 juin 2025).
Ces "Spectacles de lumière des îles de la Méditerranée" sont présentés comme trésor culturel et lieu de nostalgie, mais aussi comme une région secouée par les conflits géopolitiques, la crise des réfugiés et les conséquences du changement climatique.
Dès aujourd’hui :
* À 14h45 : La Terre tremble (La terra trema) de Luchino Visconti (1948).
À New York, au Lincoln Center, commence une rétrospective Kira Muratova : Scenographies of Chaos (16-25 mai 2025).
Ce soir :
* À 18h00, Walter Reade Theater : Le syndrome asthénique (Astenicheskiy sindrom) aka The Asthenic Syndrome de Kira Muratova (1989).
Présentation par Marta Kuzma et Ivan Kozlenko.
À Madrid, à la Cineteca, comence une rétrospective Chris Marker. Recuerdos del futuro (16-31 mai 2025).
Ce soir :
* À 20h30, sala Azcona : Sans soleil de Chris Marker (1983).
À Paris, à la Filmothèque du Quartier Latin, c’est la séance du Ciné-Mélo Club, avec deux conférences et film.
* À 17h00, Séminaire entrée gratuite :
Marguerite Duras, le mélodrame à l’épure.
Conférence de Christophe Pellet.
Delphine Seyrig, une actrice de mélodrame ?
Conférence de Alexandre Moussa.
* À 19h30 : India Song de Marguerite Duras (1975).
Au fil du temps, tous les éditos
par Nicole Gabriel
Jeune Cinéma en ligne directe
Sélection du Festival de cinéma de Douarnenez (Gouel Ar Filmou)
Sortie le mercredi 4 juin 2025
par Jean-Max Méjean
Jeune Cinéma en ligne directe
Sélection officielle du San Francisco International Film Festival 2025
Sortie le mercredi 4 juin 2025
par Gisèle Breteau Skira
Jeune Cinéma n°436, mai 2025
Sélection officielle de la Mostra de Venise 2023
Sortie le mercredi 4 juin 2025
par Jean Gouny
Jeune Cinéma n°437, juin 2025
Sélection officielle En compétition du Festival de Cannes 2025
Sortie le mercredi 28 mai 2025
par Alexis Leroy
Jeune Cinéma en ligne directe
Sortie le mercredi 28 mai 2025
par Ginette Gervais-Delmas
Jeune Cinéma n°135, juin 1981
Sorties les mercredis 15 avril 1981 et 28 mai 2025
par Jean-Max Méjean
Jeune Cinéma n°437, juin 2025
Sélection officielle En compétiton du Festival de Cannes 2025
Sortie le mercredi 23 mai 2025
par Francis Guermann
Jeune Cinéma n°437, juin 2025
Sélection officielle Hors compétition du Festival de Cannes 2025
Sortie le jeudi 22 mai 2025
par Andrée Tournès
Jeune Cinéma n°170, novembre 1985
Sorties les mercredi 18 septembre 1985 et21 mai 2025
par Jean-Max Méjean
Jeune Cinéma n°437, juin 2025
Sélection officielle Hors compétition du Festival de Cannes 2025
Sortie le mercredi 21 mai 2025
par Sylvie L. Strobel
Jeune Cinéma n°430, été 2024
Sélection officielle Un certain regard du Festival de Cannes 2024
Sortie le mercredi 14 mai 2025
par Jean-Max Méjean
Jeune Cinéma n°436, mai 2025
Sélection officielle du Festival international du film fantastique de Bruxelles 2023
Sortie le mercredi 14 mai 2025
par Gérard Camy
Jeune Cinéma n°430, été 2024
Sélection officielle Cannes Première du Festival de Cannes 2024
Sortie le mercredi 14 mai 2025
par Jean-Max Méjean
Jeune Cinéma n°437, juin 2025
Sélection officielle Hors compétition du Festival de Cannes 2025
Sortie le mercredi 14 mai 2025
par Patrice Bougon
Jeune Cinéma en ligne directe
Sortie le mercredi 7 mai 2025
par Jean Delmas
Jeune Cinéma n°16, juin-juillet 1966
Sélection officielle En compétition du Festival de Cannes 1966
Palme d’or
2 Oscars 1967 : Meilleur Film, Meilleur Scénario
Sorties le vendredi 27 mai 1966 et les mercredis 22 mai 2019 et 7 mai 2025
par Sylvie L Strobel
Jeune Cinéma en ligne directe
Sélection officielle En compétition du Festival de Locarno 2024
Sortie le mercredi le 7 mai 2025
par Gérard Camy
Jeune Cinéma n°156, janvier 1984
Sélection officielle au Forum de la Berlinale 1983
Sorties les mercredis 19 octobre 1983 et 7 mai 2025
par Sylvie L. Strobel
Jeune Cinéma n°436, mai 2025
Sélection du Festival du film francophone d’Angoulême 2024
Sortie le mercredi 7 mai 2025
par Gisèle Breteau Skira
Jeune Cinéma n°436, mai 2025
Sélection officielle En compétiton à la Berlinale 2023
Sortie le mercredi 7 mai 2025
par Lucien Logette
Jeune Cinéma en ligne directe
Sélection de la Semaine de la Critique au Festival de Cannes 1963
Sorties les mercredis 1er mai 1963, 29 mai 2013 et 30 avril 2025
par Patrick Saffar
Jeune Cinéma n°430, été 2024
Sélection officielle En compétition du Festival de Cannes 2024
Sortie le mercredi 30 avril 2025
par Hugo Dervisoglou
Jeune Cinéma n°436, mai 2025
Sélection officielle Horizons de la Mostra de Venise 2024
Sortie le mercredi 30 avril 2025
par Claudine Castel
Jeune Cinéma n°436, mai 2025
Sélection officielle du Festival du film de Sundance 2024
Sortie le mercredi 30 avril 2025
par Sylvie L. Strobel
Jeune Cinéma en ligne directe
Cinema for Peace Award à la Berlinale 2025
Sélection officielle au FIPADOC de Biarritz 2025
Sortie le mercredi 23 avril 2025
par Hugo Dervisoglou
Jeune Cinéma en ligne directe
Sélection officielle de la Semaine de la critique 2024
Sortie le mercredi 23 avril 2025
par Henri Welsh
Jeune Cinéma n°174, mai 1986
Sélection Cannes Classics du Festival de Cannes 2024
Sorties les mercredis 16 avril 1986 et 23 avril 2025
par Hugo Dervisoglou
Jeune Cinéma en ligne directe
Sélection officielle du Festival du film de Sundance 2025
Sortie le mercredi 23 avril 2025
par Gisèle Breteau Skira
Jeune Cinéma n°436, mai 2025
Sortie le mercredi 23 avril 2025
par Jean-Max Méjean
Jeune Cinéma en ligne directe
Sélection officielle du New York Asian Film Festival 2024
Sortie le mercredi 16 avril 2025